La Tunisie à la tête du Comité francophone des industries artisanales

Lors d’une rencontre, tenue hier soir, il a été annoncé que la Tunisie présidera le Comité des entreprises francophones des industries, métiers d’Art et produits de luxe au sein du Groupe des Patrons francophones (GPF), qui regroupe 84 pays.

La présidence de ce comité a été confiée à Rachida Jebnoun, présidente du Conseil international des femmes chefs d’entreprise, qui a déclaré à Mosaïque FM, que ce mandat de deux ans accordé à la Tunisie contribuera à encourager la participation et la visibilité des femmes entrepreneures et artisanes de produits de luxe sur les marchés des 84 pays francophones.

Rachida Jebnoun a souligné que la création de ce comité confirme l’importance de l’entrepreneuriat féminin comme moteur essentiel de dynamique économique et de création de richesse, affirmant que le comité s’engage à soutenir la création de projets innovants, à promouvoir les produits industriels de luxe dans l’espace francophone, à développer les réseaux entre femmes entrepreneures et à participer à diverses manifestations, notamment les salons et les expositions.

Pour sa part, l’ambassadrice de France en Tunisie, Anne Gueguen, a estimé que ce partenariat renforce les principes de la Francophonie, engagée en faveur d’une coopération économique solidaire, de l’innovation et de l’égalité femmes-hommes sur le marché du travail. Elle a salué les efforts du Conseil international des femmes chefs d’entreprise, en particulier ses initiatives innovantes qui soutiennent les économies francophones et font de cet espace un réservoir multidimensionnel d’innovation, favorable à la présence des femmes et des jeunes entrepreneures.

   Elle a insisté sur le fait que l’égalité entre les sexes est un levier clé pour le développement économique, citant des études montrant que plus les femmes sont présentes dans la vie économique et à la tête des entreprises, plus les pays garantissent progrès, richesse et atteinte des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.

   Dans le même esprit, le président du GPF, Jean-Lou Blachier, a indiqué que le lancement du Réseau des Entreprises francophones des industries et métiers de luxe constitue une étape importante, reflétant la volonté de la Francophonie de fédérer les compétences féminines, de construire des chaînes de valeur à forte compétitivité à l’échelle régionale, en appuyant particulièrement les PME actives dans ces domaines.

   Il a aussi mis en avant la plateforme unifiée, lancée lors du 6e Forum des entreprises francophones à Abidjan, la décrivant comme un outil d’appui pour les travaux du comité et pour la promotion des produits artisanaux et industriels de luxe. Il a, également, annoncé que la 7e édition du Forum se tiendra, en mai 2026, en République du Congo, soulignant l’importance de tirer profit des diasporas francophones pour renforcer les investissements et les exportations de ces produits, notamment à l’occasion de l’événement de la Francophonie en Méditerranée, prévu en novembre prochain, à Nice (France).

   Enfin, l’ambassadeur de la République démocratique du Congo en Tunisie, Désiré Salomon Mwandanga Musungu, qui préside actuellement la Conférence des États francophones, a déclaré que libérer le potentiel des femmes, c’est renforcer leur autonomie économique et construire une société solide. Il a affirmé que l’union des efforts des femmes peut leur permettre de faire progresser leurs projets bien au-delà des frontières.

Elle a insisté sur le fait que l’égalité entre les sexes est un levier clé pour le développement économique, citant des études montrant que plus les femmes sont présentes dans la vie économique et à la tête des entreprises, plus les pays garantissent progrès, richesse et atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations unies.

Dans le même esprit, le président du GPF, Jean-Lou Blachier, a indiqué que le lancement du Réseau des Entreprises Francophones des Industries et Métiers de Luxe constitue une étape importante, reflétant la volonté de la Francophonie de fédérer les compétences féminines, de construire des chaînes de valeur à forte compétitivité à l’échelle régionale, en appuyant particulièrement les PME actives dans ces domaines.

Il a aussi mis en avant la plateforme unifiée lancée lors du 6e Forum des entreprises francophones à Abidjan, la décrivant comme un outil d’appui pour les travaux du comité et pour la promotion des produits artisanaux et industriels de luxe. Il a également annoncé que la 7e édition du forum se tiendra en mai 2026 en République du Congo, soulignant l’importance de tirer profit des diasporas francophones pour renforcer les investissements et les exportations de ces produits, notamment à l’occasion de l’événement de la Francophonie en Méditerranée prévu en novembre prochain à Nice (France).

Enfin, l’ambassadeur de la République démocratique du Congo en Tunisie, Désiré Salomon Mwandanga Musungu, qui préside actuellement la Conférence des États francophones, a déclaré que libérer le potentiel des femmes, c’est renforcer leur autonomie économique et construire une société solide. Il a affirmé que l’union des efforts des femmes peut leur permettre de faire progresser leurs projets bien au-delà des frontières.